Tokyo... Qu'elle ville! [P.V.: Abyssia]

J'ouvris la porte sans peine, pour aboutir dans une petite salle où la pénombre y régnait en maître. Et se fut uniquement lorsque la porte derrière moi se referma, que la pièce s'illumina un peu.
Quelque chose tomba à coté de moi. Je me pencha pour l'attraper et je regarda se que c'était: une photo, d'un jeune garçon de plus ou moins 6 ans, occuper de dormir. Sa devait être moi. Je ne fut aucunement émus par cette photographie.
Au fur et a mesure, d'autres photos tombèrent, toute de moi, parfois seul, parfois avec un autre, légèrement plus vieux, ou encore avec une jeune fille, bien plus jeune.
Aloysius et Tsuki... Ils n'ont pas changer... Enfin, à part Tsuki, dont il ne reste que le crâne.
Je m’avança vers la vers la deuxième porte: une toute noir, brillante. Elle venait d’apparaître -enfin, je ne l'avait en tout cas pas remarquer avant...
La porte s'ouvris avant que je puisse la toucher. Je m’avança, et comme la première porte, celle-ci se referma juste derrière moi.
La pièce était aussi noir que la porte, mais de grands écrans blancs s'avanturait par ci, par là. Au bout d'un moment, chacun a leurs tour, les écrans se mirent a passer des films, que je devinait être des parties de ma vie: moi, petit, courant derrière mon frère, lui aussi petit à ce moment là; moi portant une petite fille, Tsuki surement. Enfin, tous se genre d'image là, qui aurais fait pleurer quelqu'un de normal. Seulement voilà, on ne peu pas dire que je sois normale.

Je m'avança, et j'ouvris la troisième porte: rouge sang, avec écrit plusieurs fois en noir "mort", dans plusieurs langues différentes.
je traversa la porte pour arriver dans une pièce décorer comme un musé. Surement des objets auxquels je devait tenir, étant humain. Je regarda quelques instants, avant de remarqué une lettre mis plus en évidence que les autres:

"Cher Gabriel,
Cela fait maintenant deux mois que nous ne nous sommes plus vu. Que le temps pas vite. Et qu'il fait mal... J'ai appris il n'y a pas longtemps la mort de ta chère soeur, Tsuki. je suis franchement désolé. Je sais qu'elle comptait beaucoup pour toi, que tu avais promis de la protéger contre vents et marrer... Et pourtant, la voilà bientôt six pieds sous terre.
Je t'écris juste pour savoir comment tu vies cette mort, surement plus que douloureuse. Peu être plus pour toit, que pour ton grand frère, Aloysius. D'ailleurs, comment va-t-il, lui aussi?

Amicalement, ton meilleur ami, Diogène."

Je regarda un instant la lettre. Une expression complètement blasé figer sur mon visage. Pff, que ma vie humaine a dut être ennuyante!
Je ne m'attarda pas sur la pièce, et je m'avança vers la porte. Une très jolie porte: faite d'os, elle avait quelque morceau de chair qui pendait par ci, par là.
Je l'ouvris...

La salle dans laquelle je me trouvais était totalement sombre. Je dus attendre quelques minutes avant de voir apparaitre une lumière, uniquement dans une partie de la salle.
Au départ, il n’y avait rien dans cette part de lumière, puis, petit à petit, je vis des formes apparaitre. Je crus en reconnaitre quelques-unes : Mon grand frère Aloysius ; ma jeune sœur Tsuki et, je crois, ma mère, dont je n’ai qu’un vague souvenir.
Je m’assis par terre, bien conscient que la porte n’apparaitrais qu’après le « spectacle ».
La forme a l’effigie de mon frère vola, et se mit a peu a part, dans un carrée plus lumineux que le premier.

Je l’entendis crier, et je remarquai avec une pointe d’amusement que son seul œil restant s’arrachait de lui-même. Lorsque se fut fait, son œil vola quelques secondes, juste avant de tomber par terre et éclater. Littéralement. Je reportai mon attention, sur mon frère, qui se tordait de douleur en essayant de contenir à deux mains le sang qui coulait de l’orbite, que je devinai vide et sanglante. Il continua son manège, et je commençai à m’en désintéresser. Au même moment, Aloysius arrêta de bouger, et parti lentement en poussière.

Les poussières de mon frère furent rapidement remplacées par le corps de ma mère. Elle me fit un signe amical de la main, avant de crier également de douleur. Son cri représentait pour moi comme une douce mélodie, et je fermai les yeux pour mieux en profiter. Je ne les rouvris uniquement lorsque les crie avaient cessé. Ma mère avait disparut, et par terre je vis le reste de son cadavre en décomposition. L’odeur cadavérique affirma ma pensée.

Une fumée apparut dans le petit carrée de lumière. Quand elle se dissipa, je pus voir ma sœur. Elle était assise en face de moi, exactement dans la même position. Je décidai d’essayer un truc. Je levai ma main, et Tsuki en face de moi fit de même. Je fis des gestes simples pendant quelques minutes, avant que je ne remarque que la chair de ma sœur partait en lambeau. Mais elle continuait à faire les mêmes gestes que moi. Je regardai sa chair tomber par petit morceaux, souriant. L’odeur de la décomposition avancé arriva jusqu’à moi. Une douce et magnifique odeur… Tsuki continuait à tomber en morceau, et il ne valut pas plus de 3 minutes pour qu’il n’en reste que le squelette. D’un seul coup, tous les os tombèrent en poussière.

Toute la pièce fut plongée dans la lumière, et je peu enfin voir la prochaine porte. Beaucoup plus simple, elle n’avait aucun trait particulier. Arriver devant, un air sombre et triste de piano se fit entendre. J’ouvris la porte, et je la refermai derrière moi. La pièce n’était pas vide, je le sentais bien…

-Bienvenue dans la chambre de tes souvenirs.

Je regardai la salle se faire illuminer de faible lumière bleutées, qui émanait des belles fleures bleus.
Bon, que pouvait-il bien avoir ici... C'était une bibliothèque, il y avait une Noah, qui, je le devine bien, contrôle tous ici.
En gros, je suis mal partis. Super!

Je répondis avec une pointe de sarcasme dans la voix:
-Merci, merci. Bon, et ensuite?

Je la regardai un instant, d'humeur joueuse, malgré que mon visage conservait une image blasé.

Je repris:
-Je suis sur que sa vas être plus marrant que les autres salles, qui, je te l'avoue, on parfois été bien ennuyante.

je lui parlais comme a une bonne amie. En même temps, son coté sadique, je l'aimait encore bien.

Je sautai sur le coté pour les éviter. Tss, tous des Exorcistes que j’avais déjà tué, quelques années auparavant.
Je réfléchis à toute vitesse : sans Tsuki, je ne pouvais rien tenter de magique. Mais, même avec mes « dons » physique, je ne peu que les ralentir.
Ben, on va essayer…
Je m’approcha malicieusement du premier Exorciste, j’emprisonna sa tête dans mes bras, et lorsque je serrai fort, sa tête roula et alla s’écraser par terre.
Alors comme ça, ils n’étaient pas assez bien former ?... En regardant bien, je pu voir qu’il manquait plusieurs vertèbres, et certains muscles essentielles pour que le corps tienne bien. Se serra plus pratique, ça…

Je re-tua chaque Exorcistes sans peine. Comme les autres fois. Mais, il y avait un plus gros problème… Même beaucoup plus gros : la petite Noah venait de crée un lapin géant, qui semblait beaucoup, mais alors là, beaucoup plus résistant que les 5 Exorcistes.
Je l’avais vu dessiner des protections aux endroits sensibles de ce Rabbit…
Mais, je trouvais cela très marrant ! Après tout, je n’étais pas sadique pour rien.
Les Exorcistes tués, je me tournai vers la jeune fille, d’un air blasé.

-Bon, et ce petit Lapin, il vient ou quoi?

Le Lapin se rua sur moi. Je l’évitai sans peine, par contre, il enchaina toute de suite avec d’autres attaques. Que je n’avais pas totalement prévus…
Je les évitai, les unes après les autres. Mais, en réalité, j’étais bien plus concentrer sur le son qui provenait du piano, que sur les attaques de Lapin.
Il faut dire que la petite Noah jouait drôlement bien. Et puis, la mélodie, elle convenait parfaitement avec l’état des choses.
Energique ; mélancolique ; et pourtant si jolie.
J’observai également les plantes qui s’étalaient comme un mur infranchissable devant ce qui devait être, je le devinai, des livres.

Je m’approchai un peu, me méfiant quand même des roses bleues. On ne sait jamais, avec cette Noah… Le Lapin suivie de mouvement, et s’approcha aussi des armoires. Je tournai pour qu’il soit plus, beaucoup plus près que moi des roses. Juste pour tester, hein…

Les lianes qui rampaient vers moi n’avaient pas… Hm, comment dire… L’air très accueillantes ? Oui, c’est cela.
Je ne bougeai pas pendant quelques instants, mais lorsque je jugeai que les lianes étaient trop près je reculai un peux. Seulement, d’autres lianes me barraient le chemin. Je soupirai un grand coup, et je sautai pour atterrir là où il n’y avait plus de liane. Cette couleur verdâtre me donnait la nausée.
Oui, sur se point je dois avouer que j’étais bizarre. En tant que Noah, j’aimais beaucoup la couleur rouge, comme le sang, et noir, comme la pénombre.
Mais il n’y à qu’un seule couleur qui a toujours sut attirer mon attention : le bleu. Oui, le bleu ma fascinais complètement !

Mais passons… Je recula un peu plus, de façon à être assez éloigné de plantes, mais en même temps ne pas perdre de vue toutes les choses importantes : La Noah et son piano, les livres et les lianes.

Hum ! Mais qu’elle magnifique salle ! Cette Noah avait du gout. Et puis ces vêtements, ainsi que les invités qui essayaient de me découper… C’était beau, même fabuleux ! Je m’abaissai pour pouvoir me diriger sans peine vers la petite Noah. Arriver devant elle, je me relevai, avant de faire une révérence à Abyssia, et en même temps j’évitai une nouvelle arme. Une fois complètement relevé, je lui tendis ma main gauche, tendit que la droite se tenait dans mon dos.

Avec un petit sourire, je dis d’une voix que je voulais galante, exagérément, et accompagner d’une pointe de sarcasme :
-M’accorderez-vous cette dance, très chère?

Je suivis le mouvement, en profitant de l’odeur de sang qui émanait du sol. Non, vraiment cette fille sait si prendre !
Pendant un instant, je ne bougeai pas, puis, d’un geste lent et mesuré, je mis ma main sur la taille de la jeune fille. Elle ne le savait peu être pas, mais danser était quelque chose que je ne faisais pas rarement. Et, vu que danser pour moi, c’était une façon de crée, comme Tsuki faisait avec les restes de cadavres, je ne comptais pas m’amuser seulement un bref instant.
Je commençai lentement une petite valse. Autant commencer calmement…

Je suivis la valse sans aller plus vite. Et je remarquai par la même occasion que les autres invités dansaient maintenant à la même vitesse que nous.
Au bout de quelques minutes, cette valse très lente commençai a me lassé… Je décidai d’y aller un tantinet plus vite. Je serra un peu plus l’étau entre moi et ma cavalière, de façon à se qu’elle soit un peu obliger de suivre.

Pendant un instant, je fut pris d’une envie de faire la gamin : marcher sur ces pieds, faire un brusque changement de direction… Mais je préférais de loin cette danse maccabre sur se magnifique et toute aussi macabre tapis e sang.

Par ces paroles, et l’expression que prenait maintenant son visage, tout indiquait qu'elle était redevenue normale. Enfin, que c'était à la jeune fille, la vrai Abyssia.
Je ris un instant, avant d’encore accélérer la valse.
Je remarqua aussi que se décor n'était pas ce qu'elle préférait... Pff, par rapport à l'Autre, je doute que ces gout ai quelque chose de sympa.