L'innocence d'extension (Libre)

Les Trouveurs m'avaient rapporté les étranges réactions des habitants d'un petit village très éloigné de Québec et de Montréal dénonçant la présence d'Esprits frappeurs dans la forêt proche depuis déjà quelques décennies. Cependant, ces Esprits ont dû se réveiller car l'activité étrange persistait et s'accroissait. On clamait même des disparitions. depuis quelques années maintenant. On n'osait plus y pénétrer et la considérait comme la forêt maudite. Personne n'en a réchappé et on a eu habitude de ne pas y pénétrer. Un habitant à un jour vu une branche fouetter l'orée de la forêt. Dû à l'obscurité, il se disait que cela devait être une tentacule, mais aucune de ses suppositions ne l'avaient rassuré…
Je m'ennuyais affreusement dans mon bureau et j'avais besoin de sortir. Chance pour moi, c'était le printemps au Québec. Ma Lenalee-chan aurait tant aimé les fleurs et lacs de ce pays fabuleux Y-Y. Je voulais bien repérer un peu les lieux et savoir ce qui traumatisait tant ces habitants. A part que les habitants disparaissaient, ( ce qui est chose habituelle dans les missions), et qu'il y avait des branches tentacules, nous n'avions pas grande informations. J'espérais bien croiser dans ma balade quelques Exorcistes pour écouter leurs rapports. J'espère aussi qu'il n'y a aucun Akuma dans les parages…

Je marchais tranquillement (enfin, tranquillement pour elle, c'est presque courir.) dans un village qui se trouvait au Quebec. J'étais vêtus d'un yukata rouge flamboyant et il était parsemé de fleur de cerisier. J'étais repérable de loin et tout ceux qui connaissait mes styles vestimentaires, seront que c'est moi. D'ailleurs, je portais souvent des kimonos ou des robes quelconques. Mais, je portais rarement l'uniforme des exorcistes. Je le mettais seulement lors des missions. Mon innocence était par-dessus mon yukata et passer presque inaperçue. La plupart de mes cheveux roses étaient attachés en queue de cheval, ma frange cachait à moitié mes yeux rouges qui pétillaient de joie. Je remarquais que ma frange avait poussé. C'est vrai que c'est dernier temps je me préoccupais plus de la longueur de mes cheveux. C'était un endroit assez sympathique et calme. L'atmosphère était agréable à sentir et changeait de celle de la congrégation. L'atmosphère de la congrégation se résumait souvent au bagarre de Allen Walker et de Yu Kanda ou aux sérieux quand on est face aux subordonnés du Grand Intendant. Enfin bref. L'atmosphère était très agréable et emplie de bonne odeur. Il y a toujours un "Mais". Mais, il y avait une ambiance légèrement tendu. Je n'aimais pas savoir qu'elle était légèrement tendue.

Kanda avait longtemps marché, après être descendus du train. Il n'était pas là officiellement, et aucun de ses boulots de traqueurs ne le suivaient comme un petit chien, comme ils savaient si bien le faire. L'exorciste soupira longuement, avant de bien remettre sa lame japonaise sur son épaule. Le japonais avait entendut les dit boulets parler de la soit disant innocence qui devrait se trouver ici, mais le grand intendant fou avait reffuser de lui accordé cette mission, car d'après le drago... L'infirmière, il n'était pas encore totalement remit de sa dernière mission. Foutaise, soupirait-il.

Le jeune homme arriva dans une petite clairière, et à peine avait-il posser le pied que toutes les personnes présentes se transformèrent en akumas. Super, pensa-t-il, moi qui voulais de l'action.... Kanda sortit de son fourreau bleu nuit la lame noire, et activa son arme anti-akumas, avant de se lancer dans la foule de monstre. Déjà, plusieurs explosions retentirent alors qu'il tranchait sans peine les créations du comte.

Je vis une forêt au loin. Je me ruais vers elle comme si j'étais attirée vers cette jolie forêt. Je regardais les arbres du coin. Ils étaient différent que ceux de l'Europe ou de l'Asie. Il y avait surtout des sapins, les arbres qui donne du sirop d'érable et des buissons de toute les tailles. Génial pour se cacher. J'espères que je ne croise pas d'akuma. J'ai pas que ça à faire de les tuer ! J'ai envie de m'amuser et pas faire mumuse avec eux. Je soupirais. Je m'amusais à rouler dans la neige. Mon yukata récupéra un peu de neige, je m'arrêtais et m'adossa contre un arbre quelconque et enlevais doucement la neige. J'entendis un voix. Une voix que j'avais déjà entendu et qui résonnait derrière l'arbre. Mr Tik ? Mr Kit ? Mr... Mr... Mr Mikk. Voilà ! Je m'en souviens. Je ne savais pas à qui il parlait, mais j'activais mon innocence ou cas ou et préparais quelques flèches offensives. Trouvant le sérieux, j'attendais patiemment que quelques chose se passe.

Pour rencontrer des Exorcistes, j'en ai rencontré, ainsi que de Akumas et, cerise sur le gâteau, Tiky Mikk. Exécrable Noah… il avait détruit l'Innocence qui se trouvait en Grèce sous mes yeux, et je ne pouvais éprouver plus de fureur et de répulsion. Ce dernier sans attendre s'était dirigé vers le font de la forêt pour disparaître dans l'ombre. Les quelques villageois à l'orée avaient confirmation aujourd'hui que la forêt était "maudite". Il y avait au combat Shiry, Kanda et Trueblood. J'interpelais Shry et Trueblood, ces deux là se sont déjà confrontée à Tiky Mikk et il sera sans doute plaisant à Kanda de décimer douze ou quinze Akumas inoffensifs, de plus, je savais qu'il nous rattraperait plus vite que les deux jeunes filles.

-Les filles, suivez moi! nous devons rattraper ce Noah, Kanda, reste attentif à ton golem, nous avons besoin de ta Mugen!

Et sur ces mots, je fonçais au fin font de la forêt, peu m'importait de mourir aujourd'hui entre les mains de Tiki Mikk, le plus important est qu'il ne trouve jamais le Coeur…

Je fus surprise. Je ne pensais pas que c'était Trueblood. J'avais eu une grosse peur. Je vis Komui-sempai. Je souriais. Je le suivis comme il me l'avait ordonné. Mes pas s'enfoncer dans la neige. La neige m'arrivait au genou. J'avais l'impression de rétrécir, mais ce n'est que les flocons de neige qui s'est entassée et me donne cette impression. Je crois que c'est ça.

- Komuiiiii ! On va où ? J'aime pas cette forêt !

Je sortis un bonbon et le mangea. C'était la seule chose qui pouvait me réconforter et qui me donner de la concentration. Mais, pour le moment, je me demande pourquoi je suis venue dans cette forêt. J'ai la grande impression d'être observée. Je n'aime pas cette impression d'être observer.