Paris et ses jolies filles [PV : Joeur de Demande]

Je venais d'arriver à Paris par un train pas très rapide. Effectivement, ce train avait traîné durant tout le chemin de l’Angleterre jusqu'à la ville lumière. J'avais rencontré beaucoup de filles qui m'avaient reluqués sans gêne. Mais j'avais légèrement changé d'apparence en même temps: mes cheveux étaient toujours blancs, mais coupés court et ébouriffés. A part ça, mes yeux étaient d'un verts plus que flashe.

J'arrivais au restaurant où Tyki m'avait invité. Les délices de Louis. C'était un petit café, mais que je savait réputé pour ces plats, et ces boissons très raffinés. Je souris doucement en comprenant pourquoi mon "hôte" avait choisis ce café là. Un serveur vint vers moi, voyant que j'attendais.

Serveur: Bonjour, Monsieur. Puis-je vous aidez?

- Bonjour. Et bien je crois que oui, j'ai été invité à une table.

Serveur: Le nom de celui ou celle qui vous à invité?...

- Tyki Mikk, répondis-je sur un ton joyeux, faisant bizarrement contraste avec mon air lassé au possible.

Je marchais dans les rues de Paris. Je venais récemment de me couper les cheveux. Ils m'arrivaient maintenant au niveau du cou. Aujourd'hui, je portais un kimono bleu. C'était mon préféré. Exceptionnellement, je portais le chapeau qui allait avec. C'était une espèce de béret. J'étais très souriante. Il y avait beaucoup de monde autour de moi. On ne dirait pas qu'il y est une guerre. C'était ... rassurant. Mais, au fond de moi, je savais qu'elle continuerait toujours mais, je voulais que cela s'arrête mais...Impossible. Je vis un café. Les délices de Louis. J'entra. Un serveur vint à ma rencontre.
Serveur: Puis-je vous aidais mademoiselle ?
- Bonjour. Je viens juste prendre un thé.
Serveur: Suivez moi mademoiselle.
Je le suivis. Il m'installa à une table. Il repartit. Je regardais le menu. Je regardais un serveur qui vint vers moi. Je souriais.
- Je voudrais une thé au rose et des pains au chocolat !

Je souris faussement aux dernieres paroles du Plaisir. Oui, faussement. Je devais sourir, obligè, pour, comme d'habitude, feindre un interet aux conflits des autres Noahs. Bien entendu, j'aimais beaucoup Tyki, si j'ètais aussi ènervè ce n'ètais pas sa faure. Pas vraiment... Mais cet ènervement ètait bien trop prèsent pour qu'il disparesse à la vue d'un ami, si grand soit-il. Mais qu'il m'ai apeller "mon frére" ne me gènais pas, bien que c'ètais horriblement faux, j'aimais à croire ces choses là.

Avec toujours ce faux sourire placardè sur mes léves pales, je vint prés de Tyki en le saluant, et ce ne fut qu'aprés quelques minutes de silence que je lui rèpondis:

- Tyki, tu sais bieb qu'il y a des moments pour attaquès, d'autres pour ce dètendre. Et là, je compte bien me dètendre, parce que pour une fois je suis seul.

quand je disais seul, c'ètais pour une raison spècial: pour la premiére fois de ma vie, j'avais laissè, avec son consentement, Tsuki au manoir. Je n'ètais plus un vèritable Noah. Pour le moment.

(Désolé problème de gsm, je ne suis pas sur mon pc, je vais régler ça dès que je peux)

Je soupira tout en prenant la chaise, et je m'assis dessus après quelques minutes encore. Je perdis bien vite mon faux sourir pour un vrai, lorsque je pus me delecter de la vue d'un mort. Même en n'étant plus véritablement un Noah, la Mort me poursuivait partout, et elle seule pouvait être bien plus que plaisante. Je fixa aussi Tyki quand il me regarda longuement, pour finalement me proposer de venir avec lui pour du chocolat. Et des conquètes, vu le reste de sa phrase.

Je lui souris poliment, en ne pouvant refusé du chocolat, chose que j'adorais mangé.

- Avec plaisir, Tyki. Et pour les conquètes, on verra bien...

Je buvais mon thé assez vite et mangea mes viennoiseries en quelques minutes. Je n'avais pas envie de rester là où il y avait des Noah. Je m'essuyais rapidement la bouche avec une serviette. Je pris la somme que je devais pour payer ce que j'avais commandé et la déposa sur la table. Je me levai et me ruai vers la sortie, c'est à dire les rues de Paris. Je regardais autour de moi. Il y avait beaucoup de monde. Je marchais vers une chocolaterie avec du monde. Le chocolat... J'aimais depuis toute petite. Depuis toute petite, je n'en suis pas si sûr... J'avais oublié mon enfance. Je ne savais pas pourquoi. Ou je ne voulais pas me souvenir de cette enfance. Ou bien, je l'ai oublié lors d'un accident ou en me l'a effacer. Je vis une chocolaterie. Elle était emplie de monde. J'entrais dedans sans réfléchir.